
En plein festival de Cannes, Vérité du Monde revient sur trois individus qui n’ont visiblement pas compris ce qu’était cette célébration.
Basile Ique, pêcheur dans l’Essonne
Non, le festival de Cannes ne consiste ni en une réunion du troisième âge, ni en un groupe de non-voyants, ni en un club de pêche. C’est pourtant ce qu’a cru Basile Ique lorsqu’il en entendit parler pour la première fois. Passionné par les gens utilisant une canne, il pensait en rencontrer des tas et remplir son carnet d’autographes. Malheureusement, une fois sur place, il ne vit que des acteurs ingambes à la vision correcte. Rien d’intéressant donc.
Alma Toupri, vendeuse de couteau à huîtres dans le Bas-Rhin
Au rang des déçus nous trouvons également Alma Toupri. Cette jeune femme a traversé une bonne partie de la France pour assister au festival. Pourquoi ? Parce qu’elle adore les canards… à un N près elle a la haine de s’être déplacé pour rien. Elle n’a même pas pu se consoler malgré la forte concentration de comédiens : aucun d’eux ne se révéla capable de bien faire le canard.
Léonie Lesfais, cadre dans un musée de l’Ain
La bourde de Léonie Lesfais s’avère peut-être la plus monumentale. Seule personne de notre sélection à savoir que l’on parle d’un festival de cinéma, elle a assisté à l’une des projections. Son erreur paraît digne de figurer dans les annales : elle semble convaincue d’avoir vu un film d’auteur français intéressant et dynamique. D’après l’une de nos sources, les jurées du festival ont entendu cette histoire et ont rigolé devant la méprise de Léonie Lesfais.